« Un avocat chevronné à la défense des anti valeurs : son combat contre la bonne gouvernance imprimée et imputation dommageable à l’encontre du ministre du portefeuille Jean Lucien Bussa »
Dans sa lettre du 03 mars 2025 , maître Jean Pierre Dikoma PCA de la CADECO a signé un retrait de confiance à la personne du DG de la CADECO , Madame Juliette Mughole, nommée sur la volonté du Chef de l’Etat pour matérialiser sa vision à la tête de cette entreprise , chose que Madame le DG incarne jusqu’à présent de part les réalisations palpables et réelles senties dans la gestion de cette entreprise du portefeuille. ( témoignages de l’IGF et preuves matérielles et physiques, cfr le document du bilan 2024 présenté et défendu par les cadres de cette institution).
D’où vient cet imbroglio entre le PCA er le DG de la CADECO ?
Les états généraux des entreprises du portefeuille tenue du 09 au 14 décembre 2024 ont essayé de remettre de l’ordre dans la gestion ,
en définissant les limites et les responsabilités de chaque organe de gestion.
Cependant, de manière générale, il s’observe un excès de zèle du CA qui de nature est passif , mais s’imixe dans la gestion quotidienne de l’entreprise.
Un débordement nauséabond.
Cela semble étouffer les DG qui se sentent coincés par les prétentieux puissants PCA . Pourtant tout a été mis au clair.
Qu’est ce qui se passe à la CADECO ?
Madame Juliette, DG de cette entreprise a tracé l’itinéraire définissant la nouvelle feuille de route pour amener cette entreprise à épouser le contrat de performance dans sa gestion globale.
Misant sur les résultats, il a été question de mettre en valeur un système de contrôle pouvant aider les sieges d’exploitation dans la promptitude ,la transparence et l’honnêteté : ( réduire le détournement, la corruption, la malversation et favoriser la maximisation des recettes dans toute fidélité et clarté ).
Dans cette façon de faire , nombreux sont tombés dans les manquements graves et ont été mis en confrontation avec convention collective, laquelle a décidé de leur sanction soit par révocation , mutation disciplinaire ou blâme.
La curiosité a été de constater que le Conseil d’administration serait en train de solliciter la rémise en fonction des certains detourneurs ou mieux les voleurs des milliards des francs ( des millions des dollars) qui ont volontairement saigné les caisses de l’État en s’enrichissant plus que même la banque.
Ces inciviques, voleurs et pillards sans pitié de la CADECO seraient les protégés privilégiés du fameux juriste à la toge noire , Me JEAN PIERRE DIKOMA KITENGI qui traite Madame le DG d’insubordination simplement par ce que celle-ci aurait refusé de les réhabiliter.
Peut-on céder aux intimidations des médias imposant les biceps fragiles qui défendent une immoralité manifestement approuvée ?
Que veut révéler ce PCA par sa campagne dans les médias en vilipendant Mme le DG et le Ministre du Portefeuille , Jean Lucien Bussa , cité dans un torchon des journalistes de la dernière pluie qui publient les faits irrationnels ?
Il cite Monsieur Bahati Bahizire Gaspard, le mari de Madame le DG , comme agent de la CADECO. Peut-il il brandir l’acte d’engagement de celui-ci et nous décrire le poste qu’il occupe dans cette entreprise ?
Partant de tout ces faits,nous constatons un acharnement assaisonné à une haine viscérale contre Madame le DG qui aurait bloqué et coupé la main nourricière de ces inciviques en cravate qui manipuler l’opinion par la chasse à l’homme en utilisant toutes leurs énergies pour obtenir le départ de madame le DG , tout en pensant que l’on y mettrait une marionnette de leur trempée qui leur ouvrirait la porte du vol et du pillage de la seule banque de l’état congolais. En rappel , Mme le DG n’est pas une prévenue dans l’administration comme lance ce PCA qui semble avoir perdu toute sagesse.
Nous conseillons au PCA de la Cadeco, de part son age et son expérience de se remettre à l’inspection générale de finances s’il est en mesure de prouver ses allégations , ou encore à la sagesse du Ministre du portefeuille qui est le tutelle de la Caisse Générale d’Epargne du Congo Cadeco que de s’attaquer à lui en l’imputant une complicité moins prouvée.
Les problèmes administratifs ne se gèrent pas dans les médias et moins encore dans la rue sous le manguier.
Tribune de Rigobert




























